Translate

lundi 27 avril 2015

CHAPITRE 8 : Les Pierres du Futur (Mattieu Adrin)

A imprimer:http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-8.html

Chapitre 8
Il transpirait. Mattieu resta assis sur son lit, immobile, regardant le mur devant lui. Pour la première fois de sa vie, Mattieu avait peur. Cela faisait déjà une semaine qu’il avait tué cet homme dans la bijouterie. Le visage de cet homme hantait Mattieu à chaque fois qu’il fermait un œil. Il le voyait en train d’agoniser, luttant pour respirer. Mattieu savait que les gendarmes n’allaient pas tarder à lui rendre visite. Il se demandait encore pourquoi il avait prit la fuite et ne pas appeler la police. Il aurait peut-être été retenu non-coupable pour de la légitime défense. Surement à cause du stress. Mais maintenant que c’était fait, Mattieu avait  le choix : Quitter le pays pour un petit moment afin que la police ne le recherche plus ou se rendre pour enlever le poids de la culpabilité. Lui qui voulait devenir quelqu’un d’important pour le pays devenait quelqu’un rejeté par la société. Alors après un long moment d’hésitation, Mattieu prit sa décision.

Il devait partir. Loin de tout ce qui pourrai le relier au meurtre du cambrioleur. Il ne pourrait supporter de vivre dans une cage. Pour Mattieu c’était impensable.  Alors, il prit un sac, ouvrit son placard et mit quelques affaires dedans. Mattieu ferma le sac, et de prépara pour s’en aller. Mais avant de s’en aller, il remarquer un objet bleu sur la table de nuit. C’était une de ses pierres, auquel Mattieu ne croyait pas en son existence. Il se dit aussitôt que c’était une preuve auquel la police pouvait utiliser contre lui pour l’inculper. Alors il décida de prendre la pierre avec lui. Mais au moment où la paume de sa main effleura la pierre, une vision lui apparu.
On peut voir Mattieu qui regarde la porte d’entrée de son appartement. Soudain la porte bouge. Elle rembougea une deuxième fois. Et puis tout d’un coup, la porte s’arracha et 4 policiers entrèrent, arme à la main. Mattieu s’agenouille, les mains sur la tête.
La vision de Mattieu s’arrêta. Alors il comprit tout de suite, ce qui allait se passer. Il mit la pierre dans le sac quand soudain une voix derrière la porte s’écria :
-Mattieu Adrin, Police, ouvrez !!!
Mattieu ouvrit la fenêtre, referma derrière lui et descendit par les escaliers de secours, alors que les flics entrèrent dans l’appartement. Mattieu se dirigea vers son vélo et parti discrètement. En fuyant, Mattieu remarqua une voiture de police sur son chemin. Alors il mit son sac, coté ventral, l’ouvrit et prit la casquette à l’intérieur et la posa sur sa tête. Il passa devant la voiture de police, et les deux qui y étaient installé l’ignorèrent. Mattieu transpirait de plus en plus et avait de plus en plus peur de ce qui pourrait lui arriver si il se faisait choper. Alors dans un moment de réflexion, Mattieu prit son portable et décida d’appeler son père. Il ne répondit pas et Mattieu tomba sur le répondeur.
-Oui papa c’est moi, c’est pour te dire que je m’en vais. Je suis désolée de ne pas te dire au revoir en face à face, mais je me suis fait pas mal de problèmes ces derniers temps. Et c’était pour te dire que je ne reviendrai pas en France. Là, je me dirige à la gare, je vais aller à Turin ou à Munich, je sais pas encore. Je ne t’enverrai pas de carte postale au cas où la police me recherche. C’est pour ça que je t’appelle c’est pour te dire adieu et que… je t’aime p’pa.
Il éteignit son téléphone et le jeta sur la route. Il sécha la larme qui était au coin de son œil gauche. Ne plus entendre la voix de son père l’attristait. Surtout que la dernière fois qu’ils s’étaient parlé, avait fini en dispute. Il arriva à la gare posa son vélo vers les voitures et visible de tous les piétons, en espérant que quelqu’un vienne voler le vélo. Il entra dans la gare et regarda le tableau des prévisions pour les prochains trains. Il vit alors un trajet jusqu’à Bâle en Suisse qui arriverait dans les 15 minutes qui viennent. Il s’infiltra dans la file d’attente où un couple devant lui partait pour Turin.

 C’était une destination que Mattieu voulait, mais il ne pouvait pas prendre le risque d’attendre 1 heure de plus par préférence, au risque de se faire arrêter.
-Bonjour, dit Mattieu, un billet pour le trajet Tours-Bâle s’il vous plaît.
La femme en face ne répondit pas et lui donna le prix. Le prix était tellement chère que quant il eût tout payé, il ne lui restait que pour manger pour une journée. Mattieu prit le billet et s’en alla sans dire au revoir à cette femme qui a été impolie avec lui dés le début. Mattieu alla vers là où s’arrête les trains et se posa sur un banc.
15 minutes plus tard, Mattieu tapait du pied tellement il était angoisser à ce que des flics viennent à lui. Un bruit répétitif se fit apparaître au loin. Le train de Mattieu arrivait. Le stress de Mattieu lui fit bondir de son banc comme si il s’était assis sur quelque chose de piquant. Quand le train s’arrêta, Mattieu était le premier devant les portes. Dés que les portes s’ouvrirent, on aurait dit que les portes du paradis s’ouvraient pour lui. Il entra et s’assis sur le premier siège libre qu’il vit. Plus il était assis, plus la tension autour de lui redescendait. Quand tout à coup une femme essaya de lui parler
-Bonjour, dit-elle, puis-je m’asseoir à côté de vous ?
-Euh oui, répondis Mattieu toujours perturbé, je vous en prie.
Cette femme était blonde, les yeux couleur marron et devait faire une tête de moins que Mattieu. Le parfum qu’elle portait était doux et bon.
-Vous êtes de Tours ? demanda-t-elle à Mattieu
-Non, menti Mattieu, je n’ai pas de chez moi. Je voyage un peu de partout depuis longtemps.
-Ah j’adore les aventuriers, et quand avez-vous commencez votre périple.
-Il y a à peu près 4 ans à Lyon, mes parents ont grandi là-bas.
-Je m’appelle Julie, dit-elle en tendant la main, et vous ?
-Matt, dit-il en lui serrant la main
Mattieu la trouvait très jolie et très à son goût. Pendant 10 minutes ils parlèrent et rigolèrent.
-Bon, maintenant c’est quoi votre destination ? demanda Julie.
- Je ne sais pas du tout, dit-il en rigolant
-Moi je vous conseillerais Turin ou Munich, dit-elle d’un ton plus sérieux
Mattieu ne capta pas tout de suite. Mais il avait remarqué que les destinations qu’elle avait dites n’étaient autres que les destinations qu’il avait données à son père. Julie vit que Mattieu comprit son intention
-Qui êtes-vous ? demanda Mattieu assez angoissé, ne faites pas de mal à mon père je vous en prie.
-Oh ce n’est pas votre père qui m’intéresse, dit Julie, mais c’est plutôt vous.
-Mais vous êtes qui bordel ?!!! S’énerva Mattieu
-Je m’appelle Juliette Pyat, agent de police, dit la femme, et vous êtes en état d’arrestation.

Et voici le 8eme chapitre des Pierres du Futur où deux de nos personnages vont se rencontrer. Le prochain chapitre (je ne vous en dit pas plus :p) sortira le jeudi 30 avril 2015 à la même heure.
A la prochaine et bonne lecture!!! ;)

jeudi 23 avril 2015

CHAPITRE 7: Les Pierres du Futur (Juliette Pyat)

A imprimer: http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-7.html

Chapitre 7

Il était 7h30 du matin ce mercredi d’avril. Le bip d’urgence de Juliette sonna. De plus il réveilla Martin qui était juste à coté. Juliette fit signe à son petit ami de se rendormir puis elle se leva. Et alla dans la salle de bain se laver rapidement. Une fois lavé, elle alla chercher son arme dans son sac puis l’incrusta dans sa ceinture. Puis elle ouvrit discrètement la porte pour ne pas réveiller Martin puis s’en alla d’une marche assez soutenue vers sa voiture. Elle ouvrit la portière de sa voiture et démarra.

Une fois dans la voiture elle appela Jeff pour savoir ce qu’il se passe. Jeff répondit :
-Oui Jeff, qu’est-ce qui se passe ? demanda Juliette.
-Salut, on a une prise d’otages dans supermarché dans le boulevard St Michel, tu peux venir aider ?dit Jeff.
-Ouais t’inquiète on va le coincé se salaud.
Juliette raccrocha et se dirigea vers le boulevard St Michel. Une fois arrivé, Juliette vit au moins 10 voitures de police et des flics à chaque sortie du supermarché. Juliette voyait aussi des personnes terrorisés, qui étaient en pleure mais soulagés. Juliette se gara, puis alla rejoindre Jeff.
-Alors quel est le topo ? dit Juliette sans dire bonjour
-Bonjour Juliette, tu vas bien ? demanda Jeff en l’enlaçant intentionnellement devant tout le monde.
Juliette était gênée car il l’enlaçait devant tout le monde mais elle savait qu’il le faisait exprès.
-Oui c’est vrai j’aurai du te dire bonjour dés le début, et c’est promis je te le dirais, dit Juliette toujours dans les bras de Jeff.
-Si tu ne me redis pas bonjour la prochaine fois, je t’enlace et je te mets une main au fesses, compris ? dit-il sérieusement
-Tout ce que tu vas gagner c’est le titre de gros pervers, si tu continue, dit-elle avec un léger sourire aux lèvres.
-Je m’en branle, dans 1 an je suis à la retraite.

Ils se mirent à rigoler tout les deux. Ils se reprirent tout les deux, en vue de la situation actuelle. Jeff raconta à Juliette ce qui se passait :
-Bon, nous avons à faire au pire débutant du monde. Ce con prend le supermarché pour cible avec un calibre 22, prend 12 otages, prend l’argent et relâche les otages.
-A quoi sert une prise d’otages sans otages ? demanda Juliette.
- Je ne sais pas comment il compte s’en sortir, mais t'a qu’à lui demander sa se trouve il cherche un otage à son goût.
Juliette su qu’il blaguait encore, donc elle le frappa gentiment sur l’épaule gauche.
-Bon je vais lui parler voir ce qu’il veut car il me fait vraiment de la peine. Je vais quand même lui demander de se rendre, je n’ai pas envie qu’on intervienne.

Juliette se rapprocha du supermarché en évitant les barrières de sécurité mis en place par la police et se cala contre la porte. Juliette frappa trois fois contre la porte.
-Bonjour, je m’appelle Juliette Pyat, je suis officier de police on peut parler ? cria Juliette pur que le ravisseur l’entende de l’autre coté.
-Vous êtes seule ? demanda le ravisseur.
Juliette acquiesça et le ravisseur lui fit signe d’entrer. Juliette s’exécuta. C’était la première fois qu’elle voyait un magasin silencieux où l’on n’entendait pas une mouche volé. Soudain une voie grave et calme la fit sursauter :
-Bonjour madame l’agent.
Juliette regarda vers la gauche et vit un jeune homme assez fin qui ne doit pas gagner souvent à la bagarre. Il était brun, portait un peu la barbe, mais ses yeux n’était pas visible à cause des lunettes de soleil qu’il portait.
-Pourquoi avoir libérer les otages ? demanda-t-elle franchement.
-Car je n’aurai pas besoin d’eux pour me sortir du pétrin.
-Vous comptez vous en sortir indemne ? Vous êtes optimiste, mon gars.
-Vous ne m’en croyez pas capable, dit l’homme calme, vous avez tort car je me prépare à sortir même par la porte principale.
-Alors vous êtes prêt à mourir pour quelques centaines d’euros ? Moi je dis que la vie est un prix que personne ne peut acheter. Alors rendez-vous et ne faites pas l’imbécile, je vous en prie.
-Je vais passer cette vie, s’il m’arrive malheur, en prison, donc autant essayer de sortir.
-Bon bah on se reverra à la morgue, bonne fin de vie monsieur, dit Juliette.
-Je n’ai jamais parlé de mourir, mademoiselle Pyat.

Juliette sorti du supermarché encore étonné de ce que vient de dire cet homme. Elle alla rejoindre Jeff pour lui expliquer ce qu’il disait. Une fois expliqué, Jeff ne comprenait pas.
-Donc ce connard compte s’enfuir ? demanda Jeff sceptique
-Oui, affirma Juliette
-Par la porte principale ?
-Oui.
-Et en espérant survivre à 20 hommes qui lui tirent dessus ?
-Et…oui, réaffirma Juliette.
-Bon on savait que certaines personnes étaient tarés mais quand même pas ce point.
-Bah il faut croire que des personnes ont une envie de se suicider digne de ce nom.
-Donc qu’est-ce qu’on fait Juliette, demanda Jeff troublé par ce qu’il vient d’entendre.
-On attend qu’il sorte et si dans 30 minutes il n’est pas sortit on entre et on le met en cabane.
Juliette et Jeff commencèrent à planifier comment ils allaient entrer dans le supermarché sans que l’homme fou ne s’échappent.

25 minutes plus tard, Juliette et Jeff arrivèrent à leur fin de planification quand la porte de supermarché s’ouvra. Le gars sorti du supermarché arme à la main. Juliette et Jeff pouvait entendre des « Restez où vous êtes ! » ou des « Posez votre armes au sol ». Le gars regarda Juliette, lui fit un léger sourire et jeta son arme en l’air. Tous les flics jetèrent leurs regards dessus sur l’arme qui était en train de tomber. Soudain le gars se mit à courir vers la droite. Après un temps de réaction, les flics tirèrent à vue et à ce moment le gars prit des formes bizarres avec son corps tout en courant. Les balles ne l’atteignirent jamais. Il frappa un policier et lui prit sa voiture. Au moment où il ouvrit la portière de la voiture, Juliette vit un scintillement bleu, dans la pomme de la main du gars, lui brouiller la vue. Il prit la voiture et la fuite. Derrière, plusieurs voitures de police le suivait à la trace. Juliette voulut les accompagner, mais Jeff l’en empêcha.

Plus tard au commissariat, Jeff vint donner des nouvelles de l’équipe d’intervention.
-Ils l’ont perdu, dit Jeff dépité.
Juliette n’en revenait pas, c’était invraisemblable que quelqu’un puisse éviter les balles et fuir si facilement. Juliette ne répondis pas à Jeff pour lui montrer sa désespérassion. Jeff retourna à son bureau réglé de la paperasse et faire le rapport de l’opération. Pendant ce temps, Juliette réfléchissait.
Puis elle se souvint alors de ce scintillement bleu qu’elle avait aperçu. Et alors en regardant les infos sur la télé dans le coin gauche du commissariat, elle comprit alors ce qui c’était passé.
-Mais quelle conne ! se disait-elle
Le gars avait dans sa main une pierre de Gwishosh. Une pierre qu’elle rêverait d’avoir pour attraper Verquin, l’assassin de son père. Une pierre qui pouvait voir le Futur qui lui permettait, ainsi, d’échapper aux balles et à la police. Alors Juliette alla directement voir Jeff :
-Jeff, je crois savoir ce qu’il c’est passé.

Voici le nouveau et 7eme Chapitre des Pierres du Futur. J'espère qu'il vous plairait. Il raconte le début des problèmes pour Juliette.
Le prochain chapitre portera sur la fuite de Mattieu face au flics et sera diffusé le lundi 27 avril 2015 à 19h.
Donc à la prochaine et bonnes lectures! ;)

lundi 20 avril 2015

CHAPITRE 6:Les Pierres du Futur (Richard Polak)

A imprimer:http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-6.html

Chapitre 6
C’était le Lundi 16 avril. Le président Polak était tendue comme à chaque discours devant la France entière. Ce jour-là, Richard Polak devait annoncer une nouvelle qui allait changer le quotidien de tous les français. Le commencement de la vente des pierres trouvé sur Gwishosh sur le marché national. Sa femme était là comme d’habitude pour l’encourager. Richard passait à l’antenne dans dix minutes.
-Comment tu te sens ? demanda Irvin en ajustant la cravate de son mari
-Comme à chaque discours, très mal, dit honnêtement Richard
-Ne t’inquiète pas sa c’est toujours bien passé avant je ne vois pas pourquoi, aujourd’hui, sa se passerait mal.
-Il suffit juste d’une fois pour être ridiculisé à vie dans ce pays
-Tu es le président de la république française, réconforta sa femme, les gens peuvent dire ce que tu veux de toi, mais tu mèneras quand même à bien ce pays pour encore 4 ans, donc ils seront obligés de te suivre.
-Tu as toujours les mots pour me décontracter avant un discours comment tu fais ?
-Tu ma juste choisis comme épouse, dit Irvin, voila comment j’ai fait.

Ils s’embrassèrent jusqu’à ce qu’un préparateur dise au président qu’il passait à l’antenne dans 5 minutes et lui dise d’aller s’installer devant le perchoir. Richard enlaça sa femme une dernière fois et fit ce que le préparateur lui a dit. Richard ajusta le micro devant sa bouche. Richard vit que le prompteur s’alluma et les premières phrases de son texte à répéter devant tout les français. Le stress vint à arriver même avec le réconfort d’Irvin en tête. Il regarda sur sa gauche et vit Irvin qui lui fit signe. Richard lui répondit d’un sourire gâché par le stress. Le temps passait vite pour Richard même trop vite car il restait…
-On est à l’antenne dans 3…2…1…Quand vous voulez, dit la personne derrière la caméra
Le président prit une grande respiration, regarda le prompteur, et commença son discours :
-Mes chers compatriotes, aujourd’hui la France commence une vente des plus attendus par notre pays. Il y a une semaine, j’ai autorisé des spéléologues visiter notre monument montagneux, la montagne Gwishosh. Ces français et française ont fouillé les chaque recoins de cette montagne et y ont trouvé un gouffre. Deux de nos très chères spéléologues sont descendus on fond du gouffre et ont trouvé tout au fond des pierres. Mais pas n’importe qu’elle pierres, ce sont des pierres qui vont aider la France à se reconstruire. Comme vous avez pu le constater je ne parle pas des pouvoirs surnaturels qui anime cette pierre, je parle d’abord de la croissance exponentielle qu’elle peut nous proposer. Bien évidemment, nous autres français, voulons la pierre dans un autre but, qui est celui de voir notre avenir. Alors je vous demanderais de prendre la pierre de pleine main, et ensuite regarder notre futur. Car avec cette vente va nous permettre une nouvelle croissance économique. Nous pourrions dire au revoir à cette crise qui nous gâche la vie depuis maintenant des années. Au revoir au chômage qui ne cesse d’augmenter. Je sais que ce discours est petit mais il apporte un grand message pour vous, mes chères compatriotes. C’est pour ça que j’officialise la vente des pierres de Gwishosh sur le marché français. Vive la république. Et vive la France.
- Et coupez, bravo monsieur le président vous étiez génial, dit la personne derrière la caméra.
-Merci, bon je dois vous laisser, j’ai une réunion importante qui m’attend.
Richard voulu embrasser sa femme une dernière fois, mais elle était déjà partie. Richard pensa qu’elle est retournée voir les enfants à la maison. Alors il appela son chauffeur et lui demanda de venir le chercher. Une fois dans la voiture, il demanda au chauffeur de l’envoyer au bureau des Services Secret Français. 20 minutes de bouchon plus tard, il arriva au bureau. Des soldats arrêtèrent la voiture. Richard baissa la fenêtre de la voiture et le soldat vit le président. Il fit signe d’ouvrir la barrière et entra. Une fois entré, il sorti de la voiture et se dirigea vers les salles des opérations. Quand il fut arrivé, le premier ministre était là, lui aussi. Il se rapprocha de lui.

-Richard, dis-moi que c’est une blague ce que tu vas faire ? demanda sérieusement Serge
-Je te l’avais dit que je le ferais, l’arrivée de pierres ne change rien, répondit franchement le président
-Tu vas tuer des centaines de personnes et sa te fera rien ?
-Non car ils en ont tué autant donc pas de soucis.
-Pas de soucis, tu dis ?exclama le premier ministre, ce que tu fais est monstrueux je sais même pas pourquoi je suis là
-Tu supervise l’opération, on doit être deux personnes et tu le sais.
Tout les ordinateurs dans cette salle était équipé de matériaux ultra-sophistiqué qui permettait d’aller cinq fois plus vite sur leur commande.
-Monsieur, les drones sont arrivé à Bassorah, dites-moi quand on les envoie, dit une personne sur un ordinateur.
-Richard écoute-moi, essaya Serge de convaincre le président, la vengeance sera terrible et tu le sais. Si tu fais ça, tu mets en danger le système.
- Tout les jours, le système est en danger à cause d’eux, alors si ils veulent partir en guerre, alors ils l’auront, affirma Richard qui se retourna vers la personne qui lui a parlé précédemment, vous pouvez les envoyées.

Richard et Serge regardèrent alors l’écran géant en face. Ils voyaient une ville en pleine expansion. Il y avait beaucoup de personnes au marché. On pouvait voir aussi des personnes armé qui ne devait surement pas être des policiers vu leurs tenues et leurs postures. Et tout à coup une lumière blanche envahit l’écran. Une bombe venait d’être lâchée en plein milieu du marché. La lumière diminua et Richard et Serge, ont pu voir enfin l’étendu des dégâts. Ils pouvaient voir un énorme trou qui était composé de cadavre. Il devait avoir des bras, des corps, des femmes et même des enfants dispersé un peu de partout.
Richard vit que Serge avait les larmes aux yeux.
-Serge écoute…
Serge s’en alla de la salle. Richard ne l’empêcha pas et eut un grand moment de réflexion.


Pendant ce temps, à Bassorah, un homme se dirigea vers les décombres. Il marchait au milieu comme si le marché n’était pas finit et qu’il cherchait un produit. Il voyait des têtes, des bras, des pieds éparpillé dans les décombres qui dégoulinaient encore. Soudain l’homme se figea devant une t-shirt brûlée. L’homme se mit à genou et pleura à chaude larme en prenant le t-shirt dans ses mains. Il pleurait et n’arrêtait pas de dire « kakbani ». Cela en arabe voulait dire « mon fils ». Des gens derrière lui essayaient de le réconforter, mais il se leva d’un coup et cria « tenterkaom ». Il répéta encore et encore ce mot en le criant au et fort. Et plus il le disait, plus les gens le répétait avec lui. Au bout de 5 minutes de répétition, il y avait plus de 500 personnes qui se sont regroupées et qui répétaient ce mot. Ce mot en arabe signifiait « vengeance ».

Voila le 6eme chapitre des Pierres du Futur. Ce chapitre pour moi représente le prequel du système qui va bientôt arriver. J'hésite à faire la fin du prequel dans le prochain chapitre ou dans celui d'après.
Le prochain chapitre sera avec Juliette et sortira le jeudi 23 avril 2015 à la même heure.
Au sinon je vous dis à bientôt et bonnes lecture ;)

mercredi 15 avril 2015

Chapitre 5: Les Pierres du Futur (Andrew Ward)

A imprimer:http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-5.html


Chapitre 5
Après s’être lavé, Andrew sorti de la salle de bain. Aujourd’hui il commençait plus tard que d’habitude. Depuis la découverte des pierres, les chefs spéléologues leur dit qu’ils peuvent venir quand ils veulent car la découverte leur a permis de gagner beaucoup d’argents. D’ailleurs le début des ventes de ces pierres avait lieu le lendemain. Mais Andrew s’en foutait car il en avait déjà une. Il l’avait posé sur sa table de nuit au coté droit de son lit.
 Quand il eut fini de s’habiller, il se dirigea vers la sortie mais s’arrêta net devant la porte. La tentation de prendre la pierre avec était d’une intensité si élevé que sa ma main ne put atteindre la poignée de la porte. C’est alors qu’il se retourna vers son lit et prit la pierre de pleine main.
On peut voir la porte principale du bâtiment d’Andrew s’ouvrir. Soudain un chat passe de toute vitesse vers la route, ce qui fait freiner sec la voiture qui passait. Le chat lui continua sa route sur le trottoir d’en face, alors qu’une vieille dame passa devant la porte principale du bâtiment en criant pour faire revenir le chat.

Andrew revint à lui. Il mit la pierre dans son sac de travail, et se précipita vers la sortie. Il ouvrit la porte, sorti du bâtiment et attrapa un chat qui courait juste devant. Le chat lui ronfla dessus. Il n’avait l’air de ne pas trop aimer que quelqu’un le prenne. Une vieille dame arriva.
-Merci beaucoup, dit la vieille femme essoufflé, Manou est très polisson ces derniers temps.
-De rien madame, je ne fais que mon devoir de bon citoyen, dit Andrew fière de la phrase dont il vient d’employer.
-Vous savez moi j’ai l’impression qu’un grand malheur va arriver.
-Pourquoi dites-vous ça ? demanda Andrew, votre chat n’a fait qu’une fugue, sa peut arriver.
-Si seulement, il n’y avait que mon chat cher Monsieur, dit la vieille dame, vous êtes allé au zoo dernièrement ?
-Non pourquoi ?
-Vous auriez du voir la tête des animaux, raconta la vieille dame, ils ne mangent plus, ils ne dorment… Ils ne pensent qu’à une seule chose sortir de l’enclos.
-Ouais en effet c’est bizarre.
-Bon allez, j’arrête de vous embêter avec mes histoires, il faut que j’enferme Manou, bonne journée à vous Monsieur.
-Bonne journée à vous aussi, salua poliment Andrew
La vieille dame repartie en criant sur son chat qui, lui, n’arrêtait pas de miauler. Soudain la poche droite d’Andrew vibra. Il sorti le téléphone de sa poche et vit qu’il avait un nouveau message. Quand il voulu lire le message, une application se mit en route, Candy Crush. Il éteignit l’application et alla sur les messages. C’était Allan. Il demanda par texto si Andrew voulait venir boire un coup avant d’aller au travail. Il regarda sa montre et vit la grande aiguille sur 15-16 et la petite aiguille sur 11.
Puis il retourna à son téléphone et envoya un message à Allan :
« Pk pas. J’arrive dans 5 min »

Andrew rangea son téléphone dans sa poche et se dirigea vers voiture. Une Clio simple blanche que son boulot lui avait donnée pour les grandes distances. Il prit ses clef, monta dans la voiture, démarra et parti en direction du Nord de Lyon. Sur le chemin, Andrew vit, sur les parkings de supermarché des tentes, ou bien des personnes qui était en train de manger dans leurs voitures. Il devait y avoir plus de 200 personnes par parkings. Toutes ces personnes attendaient l’arrivée des pierres sur le marché. Les pierres était devenus tellement célèbre que toute les marques de supermarché vendaient au moins cent pierres par magasins. Les gens qui étaient dehors, sont là pour voir ce que leurs avenirs va leur réserver. Andrew sentait que cette pierre n’allait apporter que du malheur dans ce monde. Il craignait surtout qu’un dysfonctionnement de la société mondial pourrait arriver. Il pensait que le gouvernement ne s’occupait que des avantages des pierres mais, du coup, n’intègre pas les inconvénients qui sont prit en compte avec la pierre.
Andrew arriva vers le bâtiment d’Allan, et chercha une place pour ce garé. 15 minutes plus tard il trouva une place à 1000 mètres de chez Allan. Il sortit de la voiture et la ferma. Il entra dans le bâtiment d’Allan. L’appartement d’Allan était au 6eme étage et comme par hasard, l’ascenseur était en panne. Il a donc du prendre les escaliers. Une fois les escaliers monté, il alla à droite pour taper à la porte numéro 56. La porte s’ouvrit.
-Salut vieux, dit Allan en lui tendant la main
-Qu’est-ce que tu racontes mon pote, répondis Andrew en lui serrant la main

Les deux amis entrèrent à l’intérieur et se posèrent à la table du salon, où Allan avait déjà tout préparé. Whisky, Coca, Rosée ou encore Rhum étaient sur la table. Allan avait un petit appartement, cinq fois plus petit que celui d’Andrew car Allan avait des soucis familiaux. Sa femme l’a quitté et a gagné leur fille avec. De plus il paye la pension pour sa fille, et du coup est très juste pour ces fins de mois.
Ils discutèrent, plaisantèrent un bon moment puis ils revinrent à un sujet plus sérieux.
-Tu sais cette pierre, dit Allan en la tenant dans sa main avec des gants, me permettra peut-être d’avoir une promotion, à toi aussi d’ailleurs, devenir directeur, et…
-Et quoi ? demanda Andrew encore en train de rigoler des précédentes vannes lancé par son ami
-Revoir ma fille, dit Andrew avec un ton triste
Andrew ne rigola plus. Il avait beaucoup de peine pour son ami d’enfance.
-T’inquiète sa va s’arranger, réconforta Andrew, tu sais je ne suis pas sur que ces pierres soit bénéfique pour nous
-Tu déconnes, ces pierres c’est notre avenir que l’on voit, tu t’imagine ce que l’on pourrait faire avec ?
-Ouais justement, je m’imagine, et sa me fait peur de penser que des millions de gens vont avoir le même pouvoir que nous
-Arrête tu te fais des idées cette pierre nous permet juste de voir le futur
-C’est la que tu te trompe, dit Andrew, tout à l’heure j’ai touché ma pierre et j’ai vu une vieille dame courir après son chat .le chat à traversé la route et a fait piler une voiture qui arrivait. Ensuite il a filé de l’autre côté de la rue et la vieille dame abandonna. Quand je suis descendu dans la rue j’ai attrapé le chat et je l’est rendue à la vieille dame.
-Mais ça prouve bien qu’avec la pierre tu vois le futur ?
-Sauf que tu dis que la pierre permet de voir le futur, mais quand je suis descendus en bas, le chat n’a pas traversé la route, la voiture n’a pas pilé, et la vieille dame n’a pas abandonné. Donc je n’ai pas vu le futur je l’ai changé. Et c’est ça qui me fait peur.
Allan resta muet et écouta Andrew.

-Allan, la pierre ne nous montre pas le futur, elle nous permet de le changer, affirma Andrew

Voici donc un nouveau Chapitre des Pierres du Futur. J'ai eu vraiment du mal a finir se chapitre par manque d'inspiration, mais j'y suis arriver.Dans le prochain Chapitre nous retrouverons notre bon président, Richard Polak.
Donc à bientôt et bonnes lectures!!!! ;)

lundi 6 avril 2015

CHAPITRE 4:Les Pierres du Futur (Mattieu Adrin)

A imprimer: http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-4.html

Chapitre 4
Après  4 longues heures d’études sur la macro-économie et leur influence à travers le monde, Mathieu se sentait vidé, et pourtant il prit sont courage à deux mains. En effet, il était 19 heure et il devait se rendre à son travail, s’était un  petit boulot de livreur de pizza qui lui servait tout juste à payer le loyer de sa chambre d’étudiant. Il enfourchât son BMX et partit à son travail récupérer les premières commandes. La première commande était pour « Martin » aux 18 rues de la gare. Une fois arrivé, 10 minutes plus tard il frappa, en s’identifiant :
-Bonjour, c’est pour les pizzas que vous avez commandé chez Pizza HUT
-J’arrive, dit Martin derrière la porte
Il patienta pendant 10 secondes et ensuite la porte s’ouvra.
-Bonjour, vous allez bien ? demanda Martin
-Oui très bien, répondis Mattieu, voila la pizza bolognaise et la savoyarde, ça vous fera 15 euros.
Martin prit les 20 euros dans sa poche et les donna à Mattieu. Mattieu allait lui rendre la monnaie quand Martin lui fit signe de la main de ne pas chercher.
-Je sens que vous allez avoir une soirée difficile donc gardez la monnaie, dit Martin
-Merci monsieur, souri Mattieu, bonne soirée à vous.

Martin ferma la porte, laissant Mattieu content de sa première livraison. Il prit ses écouteurs qui étaient dans sa poche gauche de son blouson Pizza HUT et les enfila dans ses oreilles. Et comme si cette journée ne pouvait pas mieux aller, la chanson I want you back des Jackson Five passait à la radio. Il enfourcha son vélo reparti de pied ferme à sa deuxième livraison. Quand la musique s’arrêta, les infos du jour commença : « Bonjour et voici les infos du jour. Les pierres de Gwishosh qui ont été trouvé, il y a deux jours ne sont pas ce qu’elles semblent être. D’après les spéléologues, cette pierre permettrait de voir le futur. Une hypothèse improbable que vient de nous confirmer le président de la république. D’après lui, la pierre ne comporterait aucun danger et pourrait être utilisé par tous d’ici la semaine prochaine…
Mattieu enleva ses écouteurs
-Encore des conneries, dit Mattieu à lui-même

Après avoir passé toutes ses livraisons, Mattieu alla chez Pizza HUT pour redonner les bénéfices des pizzas au propriétaire. Il rentra chez le livreur et vit beaucoup de monde qui mangeait des pizzas en famille, tout seul ou avec des amis. Il alla au comptoir pour rendre l’argent à l’homme qui y était.
-Salut Frank, tiens voilà ce que j’ai eu aujourd’hui, dit Mattieu en lui rendant les 150 euros gagné
-Garde 100 pour toi, dit Frank d’un ton sérieux
-Quoi, t’es pas un peu fou, faut que t’ais des bénéfices quand même.
-Avec le monde qu’il y a aujourd’hui, je vais en faire du bénéfices ne t’inquiète pas pour ça.
-Mais si tu donnes 2/3 à tes employés du marché accompli, sur les commandes, tu vas te ruiner
-T’as entendu les infos ces derniers temps avec les pierres de Gwishosh, dit Frank, dans une semaine je vais pouvoir acheter une de ces pierres et faire la meilleur recette de pizza au monde
-Non, ironisa Mattieu, tu ne crois tout de même pas les âneries qui disent à la radio. C’est du n’importe quoi, tu verras que dans une semaine il y aura une sorte de catastrophe « naturelle » qui va détruire toute les pierres, comme par magie.
- Bon tu es là pour me détruire un super rêve ou pour donner tout le fric que tu as gagné ce soir ?
Mattieu sortit l’argent de sa poche et y posa sur le comptoir.
-Prend au moins 50, insista Frank
Mattieu prit l’argent à contrecœur, et repartit. 

Il enfourchât son vélo et prit le chemin pour aller à son appartement. Sur la route, il remarqua que la bijouterie du coin était toujours allumée. Ce qui était bizarre pour une bijouterie de fermer si tard. Il posa son vélo à l’entrée pour voir ce qui s’y présentait. D’habitude, la bijouterie organisait des galas pour montrer les nouvelles bagues très chères. On pouvait y voir des très grandes stars comme Bruce Willis ou Madonna. Mattieu pencha sa tête pour voir ce qui se passait, mais à sa grande surprise, il n’y avait personnes. Il scruta le moindre détail, mais vraiment personne, quand soudain il regarda au niveau de la caisse et vit un homme tendre une arme. Mattieu voulu appeler la police mais se rendit compte qu’il avait oublié son portable au boulot. Il regarda de nouveau en direction du comptoir, et il vit l’homme charger son arme. 

Mattieu arrêta de réfléchir et entra à l’intérieur.
- Donne-moi le fric tout de suite ou je te descends, dit le braqueur, c’est la dernière fois que je te préviens.
-Je ne connais pas le code, je suis celui qui fait le ménage après la fermeture, dit l’homme derrière le comptoir
-Tu mens, je l’ai vu, le code est 5532, si tu m’ouvre pas, je te mets une balle, compris ? Et dépêche je n’ai pas vu jusque là.
Mattieu se cacha derrière une expo de bijoux, et vit que l’homme s’approcha de la caisse et commença à taper le code que lui à dit le braqueur. La caisse s’ouvra. Le braqueur poussa l’homme et prit l’argent.
-Bon, se soulagea le braqueur, je crois que j’ai plus besoin de toi.
Le braqueur pointa son arme sur l’homme du comptoir et était prêt à tirer. 

C’est alors que Mattieu surgit pour dévier le tir. L’homme derrière le comptoir prit l’opportunité de s’enfuir en courant. Mattieu se précipita sur lui pour l’empêcher de se faire tirer dessus. Un duel de force d’engagea avec un pistolet au centre. Le braqueur prit l’avantage sur Mattieu qui dans une tentative de dernière chance lui mit un coup de genou dans les parties génitales et prit l’avantage sur le braqueur. Soudain un coup de feu partit du pistolet. Le braqueur s’effondra. Il commença à perdre du sang au niveau de l’estomac.
-Oh merde,  dit Mattieu en se précipitant sur lui.
Mattieu appuya là où l’hémorragie se propagea.
-Vous avez un téléphone pour que j’appelle les secours ?
Le braqueur montra du doigt son sac à dos qu’il avait perdu lors de la confrontation.
-Appuyer sur la plaie pendant que j’appelle les secours, Ok ? lui dit Mattieu.
Mattieu se précipita vers le sac à dos, l’ouvrit. Dans ce sac il y avait de tout, paquet chewing-gum, cigarette, un autre flingue, son portefeuille… Il prit ce dernier et l’ouvrit. Mattieu su, en regardant sa carte d’identité, qu’il s’appelait Benjamin Margnan. Il reposa le portefeuille et chercha de nouveau. Un immense stress vint parcourir le corps de Mattieu. Tout au fond du sac, Mattieu vit une lueur bleue l’éclairer. D’un coup d’énervement, Mattieu prit le sac et renversa tout par terre. Et en renversant le sac, il vit l’objet auquel il ne croyait pas l’existence. C’était une de ces pierres qui permettait de voir le futur. Il resta 10 secondes, scotchant la pierre mais se rappela l’objectif de cette fouille. Il prit le téléphone et tapa le numéro des secours. Le temps qu’il se retourne, il vit que le braqueur avait cessé de respirer. Soudain il entendit dans son oreille droite :
-Service d’urgence bonjour, dit la secrétaire au bout du téléphone, Allô, Allô, il y a quelqu’un ?

Mattieu raccrocha. Un sentiment de panique l’envahit et dans l’immédiat il décida prendre toute les preuves auquel on pourrait le rattacher. Il se dirigea vers le sac pour tout prendre ce qu’il y avait. Mais en voulant mettre la pierre dans son sac, une courte vision lui apparut :
On voit Mattieu toujours dans la bijouterie en train de ranger les affaires dans le sac quant une mouche vint le gêner à son oreille gauche.

Mattieu relâcha immédiatement la pierre dans le sac. Soudain dans un geste réflexe, il agita la main vers son oreille gauche. Et quand il rouvrit sa main une mouche y était posée. La mouche s’envola. Dans moment de panique, Mattieu prit le sac avec la pierre dedans et partit, sans remarqué les caméras de surveillance qui avait enregistré toute la scène. 

Voilà (enfin) le nouveau chapitre des Pierres du Futur. Je suis désolée d'avoir mis tant de temps à le sortir mais j'étais vraiment occupé ses dernières semaines. Le prochain chapitre portera sur Andrew Ward, et je ne vous en dis pas plus.
Donc à bientôt et bonne lecture ;)