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Chapitre 6
C’était le Lundi 16 avril. Le président Polak était
tendue comme à chaque discours devant la France entière. Ce jour-là, Richard
Polak devait annoncer une nouvelle qui allait changer le quotidien de tous les
français. Le commencement de la vente des pierres trouvé sur Gwishosh sur le
marché national. Sa femme était là comme d’habitude pour l’encourager. Richard
passait à l’antenne dans dix minutes.
-Comment tu te sens ? demanda Irvin en ajustant
la cravate de son mari
-Comme à chaque discours, très mal, dit honnêtement
Richard
-Ne t’inquiète pas sa c’est toujours bien passé
avant je ne vois pas pourquoi, aujourd’hui, sa se passerait mal.
-Il suffit juste d’une fois pour être ridiculisé à
vie dans ce pays
-Tu es le président de la république française, réconforta
sa femme, les gens peuvent dire ce que tu veux de toi, mais tu mèneras quand
même à bien ce pays pour encore 4 ans, donc ils seront obligés de te suivre.
-Tu as toujours les mots pour me décontracter avant
un discours comment tu fais ?
-Tu ma juste choisis comme épouse, dit Irvin, voila
comment j’ai fait.
Ils s’embrassèrent jusqu’à ce qu’un préparateur dise
au président qu’il passait à l’antenne dans 5 minutes et lui dise d’aller s’installer
devant le perchoir. Richard enlaça sa femme une dernière fois et fit ce que le préparateur
lui a dit. Richard ajusta le micro devant sa bouche. Richard vit que le
prompteur s’alluma et les premières phrases de son texte à répéter devant tout
les français. Le stress vint à arriver même avec le réconfort d’Irvin en tête.
Il regarda sur sa gauche et vit Irvin qui lui fit signe. Richard lui répondit d’un
sourire gâché par le stress. Le temps passait vite pour Richard même trop vite
car il restait…
-On est à l’antenne dans 3…2…1…Quand vous voulez,
dit la personne derrière la caméra
Le président prit une grande respiration, regarda le
prompteur, et commença son discours :
-Mes chers compatriotes, aujourd’hui la France commence
une vente des plus attendus par notre pays. Il y a une semaine, j’ai autorisé
des spéléologues visiter notre monument montagneux, la montagne Gwishosh. Ces
français et française ont fouillé les chaque recoins de cette montagne et y ont
trouvé un gouffre. Deux de nos très chères spéléologues sont descendus on fond
du gouffre et ont trouvé tout au fond des pierres. Mais pas n’importe qu’elle
pierres, ce sont des pierres qui vont aider la France à se reconstruire. Comme
vous avez pu le constater je ne parle pas des pouvoirs surnaturels qui anime
cette pierre, je parle d’abord de la croissance exponentielle qu’elle peut nous
proposer. Bien évidemment, nous autres français, voulons la pierre dans un
autre but, qui est celui de voir notre avenir. Alors je vous demanderais de
prendre la pierre de pleine main, et ensuite regarder notre futur. Car avec
cette vente va nous permettre une nouvelle croissance économique. Nous
pourrions dire au revoir à cette crise qui nous gâche la vie depuis maintenant
des années. Au revoir au chômage qui ne cesse d’augmenter. Je sais que ce
discours est petit mais il apporte un grand message pour vous, mes chères
compatriotes. C’est pour ça que j’officialise la vente des pierres de Gwishosh
sur le marché français. Vive la république. Et vive la France.
- Et coupez, bravo monsieur le président vous étiez
génial, dit la personne derrière la caméra.
-Merci, bon je dois vous laisser, j’ai une réunion
importante qui m’attend.
Richard voulu embrasser sa femme une dernière fois,
mais elle était déjà partie. Richard pensa qu’elle est retournée voir les
enfants à la maison. Alors il appela son chauffeur et lui demanda de venir le
chercher. Une fois dans la voiture, il demanda au chauffeur de l’envoyer au
bureau des Services Secret Français. 20 minutes de bouchon plus tard, il arriva
au bureau. Des soldats arrêtèrent la voiture. Richard baissa la fenêtre de la
voiture et le soldat vit le président. Il fit signe d’ouvrir la barrière et
entra. Une fois entré, il sorti de la voiture et se dirigea vers les salles des
opérations. Quand il fut arrivé, le premier ministre était là, lui aussi. Il se
rapprocha de lui.
-Richard, dis-moi que c’est une blague ce que tu vas
faire ? demanda sérieusement Serge
-Je te l’avais dit que je le ferais, l’arrivée de
pierres ne change rien, répondit franchement le président
-Tu vas tuer des centaines de personnes et sa te
fera rien ?
-Non car ils en ont tué autant donc pas de soucis.
-Pas de soucis, tu dis ?exclama le premier
ministre, ce que tu fais est monstrueux je sais même pas pourquoi je suis là
-Tu supervise l’opération, on doit être deux
personnes et tu le sais.
Tout les ordinateurs dans cette salle était équipé de
matériaux ultra-sophistiqué qui permettait d’aller cinq fois plus vite sur leur
commande.
-Monsieur, les drones sont arrivé à Bassorah,
dites-moi quand on les envoie, dit une personne sur un ordinateur.
-Richard écoute-moi, essaya Serge de convaincre le
président, la vengeance sera terrible et tu le sais. Si tu fais ça, tu mets en
danger le système.
- Tout les jours, le système est en danger à cause d’eux,
alors si ils veulent partir en guerre, alors ils l’auront, affirma Richard qui
se retourna vers la personne qui lui a parlé précédemment, vous pouvez les
envoyées.
Richard et Serge regardèrent alors l’écran géant en
face. Ils voyaient une ville en pleine expansion. Il y avait beaucoup de
personnes au marché. On pouvait voir aussi des personnes armé qui ne devait
surement pas être des policiers vu leurs tenues et leurs postures. Et tout à
coup une lumière blanche envahit l’écran. Une bombe venait d’être lâchée en
plein milieu du marché. La lumière diminua et Richard et Serge, ont pu voir
enfin l’étendu des dégâts. Ils pouvaient voir un énorme trou qui était composé
de cadavre. Il devait avoir des bras, des corps, des femmes et même des enfants
dispersé un peu de partout.
Richard vit que Serge avait les larmes aux yeux.
-Serge écoute…
Serge s’en alla de la salle. Richard ne l’empêcha
pas et eut un grand moment de réflexion.
Pendant ce temps, à Bassorah, un homme se dirigea
vers les décombres. Il marchait au milieu comme si le marché n’était pas finit
et qu’il cherchait un produit. Il voyait des têtes, des bras, des pieds éparpillé
dans les décombres qui dégoulinaient encore. Soudain l’homme se figea devant une
t-shirt brûlée. L’homme se mit à genou et pleura à chaude larme en prenant le
t-shirt dans ses mains. Il pleurait et n’arrêtait pas de dire « kakbani ».
Cela en arabe voulait dire « mon fils ». Des gens derrière lui
essayaient de le réconforter, mais il se leva d’un coup et cria « tenterkaom ».
Il répéta encore et encore ce mot en le criant au et fort. Et plus il le
disait, plus les gens le répétait avec lui. Au bout de 5 minutes de répétition,
il y avait plus de 500 personnes qui se sont regroupées et qui répétaient ce
mot. Ce mot en arabe signifiait « vengeance ».
Voila le 6eme chapitre des Pierres du Futur. Ce chapitre pour moi représente le prequel du système qui va bientôt arriver. J'hésite à faire la fin du prequel dans le prochain chapitre ou dans celui d'après.
Le prochain chapitre sera avec Juliette et sortira le jeudi 23 avril 2015 à la même heure.
Au sinon je vous dis à bientôt et bonnes lecture ;)
Voila le 6eme chapitre des Pierres du Futur. Ce chapitre pour moi représente le prequel du système qui va bientôt arriver. J'hésite à faire la fin du prequel dans le prochain chapitre ou dans celui d'après.
Le prochain chapitre sera avec Juliette et sortira le jeudi 23 avril 2015 à la même heure.
Au sinon je vous dis à bientôt et bonnes lecture ;)
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