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vendredi 22 mai 2015

CHAPITRE 12: Les Pierres du Futur (Mattieu Adrin)

A imprimerhttp://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-12.html

Chapitre 12
Pourquoi moi ? C’était la phrase que n’arrêtait pas de se poser Mattieu. Après qu’il se soit fait avoir par Juliette Pyat et ramené au commissariat, voilà que maintenant on attaquait le commissariat. Ces hommes masqués étaient bien armé. Ils avaient du tuer 5 ou 6 flics en arrivant. Du coup out les flics posèrent leurs armes afin d’épargner leur vie. Mattieu était dans la salle d’interrogatoire avec   Juliette Pyat, l’agent de police qui l’avait arrêté. L’homme au masque rouge devait être le chef de la bande, car c’est lui qui parla en premier.
-Mesdames, messieurs, je suis heureux de vous annoncer un cambriolage de prisonniers au commissariat de Tours, dit le masque rouge en rigolant.
Sa voix narcissique restait dans la tête de Mattieu. On dirait que l’on assiste à un cambriolage dans une bijouterie mais sans les bijoux.
Un homme assez vieux et barbu s’avança alors vers le masque rouge.
-Je ne sais pas pour qui vous vous prenez, mais vous pouvez aller vous faire foutre, vous n’aurez pas ces prisonniers.
Le masque rouge prit son fusil, et tira alors dans la jambe du vieux barbus. Le bruit était tellement fort qu’il résonna dans la salle d’interrogatoire. Mattieu vit Juliette verser une larme au moment où le coup de feu partit. Elle prononçait le nom de l’homme qui venait de se faire tirer dessus : Jeff. Mattieu se disait alors que l’homme blessé devait être le mentor de Juliette.
-Est-ce quelqu’un d’autre a envie de m’insulter, dit le masque rouge, car je peux vous dire que je ne suis vraiment pas dans une bonne forme, au sinon le vieux aurait déjà périt d’une balle dans la tête. Bon donnez-nous les prisonniers et personnes ne mourra aujourd’hui.
-Vous avez déjà tué des personnes, dit un policier
-C’est pour ça que j’ai utilisé le futur, p’tit con. Grouillez-vous !!
En disant cela, le masque rouge pointa son arme sur Jeff pour montrer qu’il était bel et bien sérieux. Mattieu vit Juliette prendre ses clefs accroché autour de sa taille et sortit de la salle d’interrogatoire. Quand Juliette sortit, tous les masques pointèrent leurs armes vers elle.
-Je vais vous les donnez, dit-elle apeuré, ne lui faites pas de mal.
-Tant que vous nous donniez ce dont on a besoin, personne ne sera blessé, je vous le promets, affirma l masque rouge. Mattieu vit Juliette se diriger vers les cellules de détention. Elle prit les clefs et ouvrit les cellules. Tous les prisonniers sortaient. Dans le tas, il devait  avoir des voleurs, des violeurs, des criminels… Le masque rouge observait attentivement les différents prisonniers comme si il recherchait quelqu’un. Une fois les prisonniers sortirent, Juliette prit la parole :
-Vous avez ce que vous voulez, maintenant allez-vous en.
-Vous n’aviez pas l’air d’une menteuse quand je vous ai vu, dit le masque rouge
-Comment ça ? Vous m’avez déjà vu auparavant ? demanda Juliette
-Il me manque un prisonnier, changea-t-il de sujet.
-Je vous aie donné tout le monde, c’est la vérité.
- Et Mr Adrin, alors ?

Mattieu frémit quand il entendit son nom dans la voix de cet homme. Plusieurs questions se posèrent dans la tête de Mattieu ; Comment connaissait-il son nom ? Pourquoi le voulait-il lui en  particulier ? Avait-il tué un membre d’un gang important et était-il là pour se venger de sa mort ? Mattieu ne se sentit pas très bien. Il se demanda alors ce qu’il devait faire : Rester caché ou alors se livrer a ses personnes au risque d’être tué voir pire, être torturé avant d’être tué. Soudain Mattieu vit que le masque rouge visa Juliette avec son arme. Malgré le fait qu’elle se soit joué de lui, elle avait cru en son histoire lors de l’interrogatoire. De plus, Mattieu ne voulait pas une mort de plus sur sa conscience. Alors le choix de Mattieu se fit vite. Il sortit de la salle d’interrogatoire avec la boule au ventre.
-C’est moi que vous voulez, dit Mattieu les larmes prêt à couler, alors laissez-là tranquille.
Mattieu sentit que l’arme du masque rouge le visait. Mattieu ferma les yeux. Il n’attendait plus que le bruit d’un coup feu. Il sursauta soudain, lorsque le masque rouge prononça cette phrase :
- Allez on bouge, dit-il.
Mattieu n’en pouvait plus. Le stress qui était en lui, allait exploser à un point qu’il allait avoir une crise cardiaque. Mattieu ne bougeait plus. Il ne savait plus ce qu’il se passait. Il tremblait. Il vit que Juliette le regarda en se demandant ce qu’il se passait et comment les masque connaissaient son nom. Mattieu commença à avancer vers la sortie. Mattieu fit un geste d’excuses à Juliette pour lui faire comprendre qu’il n’avait rien prévu. Mais il vit qu’elle n’y croyait pas une seconde. Mattieu sortit du commissariat avec les masques. Plusieurs camionnettes noires étaient garées devant. Mattieu monta dans la première de toute la file. Quand il monta, les masques enfilèrent un sac sur la tête à Mattieu. Mattieu sentit quand la camionnette démarra. Elle démarra si vite que pendant un millième de seconde Mattieu arrêta de respirer. Il sentit tout les virages, toutes les bosses sur la route. Au bout de 15 minutes de voitures, Mattieu avait envie de vomir. Il sentait qu’ils avaient  quitté la route. Il pouvait le savoir grâce à l’accentuation de mini bosses sur la route. 

Et soudain la voiture s’arrêta. Les masque prit Mattieu par les bras et le sortit de la camionnette. Il était maintenant debout ne voyant que la couleur de se sac noir, et attendait son sort. Il n’attendait plus qu’un coup de feu pour que sa soit finit. Quand soudain quelqu’un enleva le sac. Mattieu, pendant 10 secondes ne voyait qu’une lumière blanche. Quand la vue lui revint, il vit qu’il se retrouvait au sommet d’une colline, entouré d’une dizaine d’homme masqué. Le paysage était magnifique de là où ils étaient. Soudain deux hommes masqués s’écartèrent, pour laissé place au masque rouge.
-Qu’est-ce que vous me voulez ? demanda Mattieu
-On doit parler, Mr Adrin, dit le masque rouge.
C’est alors que le masque rouge enleva son masque. C’était une femme, brune, yeux marrons et assez carré.
-Et de quoi devons-nous parler si je ne suis pas indiscret ? demanda Mattieu.
- Nous devons parler du futur, dit cette femme.
Mattieu était très sceptique quant à la réponse qu’avait donnée cette femme. La femme s’approcha alors de Mattieu.
-Je m’appelle Mélanie Kristo, dit la femme, et... putain comme je suis enchanté de vous rencontrer, dit-elle en lui serrant avec un grand sourire.

Le sourire qu’elle esquissa laissa perplexe Mattieu. Car si elle ne le voulait pas pour le tuer, alors pourquoi l'ont-il pris, lui ?

Voici la suite des aventures des Pierres du futur. Le prochain chapitre aparaitra... plus tard ;)
Donc a la prochaine et bonne lecture!!! ;)

samedi 16 mai 2015

INFOS!!!!!!

Si vous n'aimez pas lire sur un ordinateur, alors vous allez être ravi.
Vous pouvez désormais imprimer les 11 premiers chapitres des Pierres du Futur afin de les lire sur papier.
 Vous le pouvez sur en allant sur un lien " A imprimer" dans chaque chapitre du blog. Ensuite vous arriverez vers un autre site qui aura pour page le chapitre. Cliquez sur le lien en jaune qui est marqué par Chapitre x. Ensuite vous aurez téléchargé un document Word et il ne vous restera plus qu'a l'imprimer et le tour sera jouer.

Donc on se retrouvera très bientôt et bonne lecture!!! ;)

vendredi 15 mai 2015

CHAPITRE 11:Les Pierres du Futur (Juliette Pyat)

A imprimer: http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-11.html

Chapitre 11

Il y avait un brouhaha monstre au commissariat. La police était débordée. Depuis que les pierres étaient arrivées au marché, le taux d’infraction avait triplé en moins d’une semaine. De plus avec la nouvelle loi du président, cela n’arrangeait pas les choses. Juliette, elle, avait un énorme mal de crâne. Elle était assise à son bureau essayant de se boucher les oreilles pour être tranquille. Elle regarda son téléphone, voir si Martin n’était pas arrivé en Suisse pour un nouveau travail de banquier. Mais non, aucun message. C’est alors que Jeff arriva près de Juliette.
-La salle d’interrogatoire est libre pour le gars que tu as rattrapé dans le train, dit Jeff très fort
-Qu’est ce que tu veux que je fasse ?dit Juliette la main sur la tête, appelle les experts.
-Ils sont un peu occupé pour le moment, donc à toi de faire ton boulot.
Jeff balança le dossier sur les genoux de Juliette. Juliette prit le dossier et se leva à contrecœur. Juliette traversa la pièce se rendre à la salle d’interrogatoire. Sur le chemin, Il n’entendit que les accusé qui criait tous la même chose ; « je suis innocent !! ». Ce qui était problématique pour l’un d’entre eux car il s’est fait choper par la police lorsqu’il était en train de poignarder son banquier. Mais la plupart d’entre avait été attrapé par la police car il possédait une pierre de Gwishosh. Juliette trouvait que c’était injuste de punir des personnes qui ont touchés une pierre. Mais bon, la loi est la loi, et elle ne pouvait rien y faire. 

Elle ouvrit la porte de la salle d’interrogatoire. Le détenu, Mattieu Adrin, ne réagissait pas à l’entrée de celle qui l’a attrapé.
-Je me disais aussi que j’avais trop de chance sur ce coup là, dit Mattieu nerveusement
Juliette ne répondit pas à la remarque de Mattieu. Elle s’assit en face de lui, ouvrit le dossier Mattieu et commença à lire. Elle vit qu’il n’avait pas d’antécédents criminels.
-Alors, Mr Adrin, expliquez moi vos version des faits, demanda Juliette.
-Ok, je rentrais du boulot quand je suis allé à la bijouterie qui devait être fermé. J’ai cru qu’il y a avait un événement spécial. Mais il n’y avait personnes. Sauf qu’au dernier moment j’ai vu un homme armé qui avait l’air déterminé. Donc je suis rentré pour aider la personne pointée par cette arme. Et au moment que je sentais qu’il allait tirer, je me suis jeté sur lui pour ne pas qu’il le tue mais en se battant, il s’est tiré dessus. Et du coup il est mort.
-Donc vous n’êtes pas un assassin, ironisa Juliette, mais un héros, n’est-ce pas ?
-J’ai jamais dit que j’étais un héros, haussa-t-il de ton, celui qui tue quelqu’un n’en est pas un.
-Ok imaginons que je vous crois, pourquoi avoir prit la fuite ?
-Vous voulez jouer à ce jeu là, madame l’agent de police séductrice, alors imaginons que vous voulez devenir un enseignant ou quelque chose d’autre dans le genre. Vous tuez un homme sans le vouloir et vous êtes accusé de meurtre. Est-ce qu’un directeur d’un lycée ou collège aimerait vous prendre comme enseignant ?
-Non, dit honnêtement  Juliette.
Juliette commençait à avoir de la peine pour lui. Juliette le voyait dans ses yeux qu’il était innocent. Mais elle ne se laissa pas convaincre par lui. Elle se disait que peut-être était-ce un menteur professionnel. Quand Juliette lu le dossier à nouveau, elle vit une incohérence des plus flagrantes.
-Dans le dossier, il est marqué que vous possédiez une pierre.
-Oui c’est exact, je l’ai trouvé dans le sac du cambrioleur, quand j’ai voulu le soigner.
-Vous mentez, affirma Juliette, les pierres ont été distribuées la semaine dernière, et vous dites que la pierre était dans le sac du soi-disant « cambrioleur » le jeudi avant l’ouverture de la vente. C’est impossible.
-Si je vous dis qu’il l’avait dans son sac. Et si…
-Oui ? demanda Juliette
-S’il avait pu l’avoir avant les ventes, suggéra Mattieu, si il était sur les lieux quand il a eut cette pierre.
-Vous croyez que c’est un spéléologue reconvertit dans le criminel ?
- Je ne sais pas, vous avez regardé ces antécédents de travail ?
Juliette affirma que non de la tête.
-Bon bah je crois que je vais pouvoir poster ma candidature pour être flic alors ? Ironisa Mattieu
Juliette se leva de la chaise pour aller faire ce que lui avait dit Mattieu. Mais Mattieu lui posa une dernière question avant de partir.
-Vous avez quelqu’un dans votre vie ?
Juliette ne savait pas quoi répondre à cette question, elle n’avait jamais eu ce type de conversation dans un interrogatoire. Perturbée, elle ne sut lui dire que la vérité.
-Oui, j’ai quelqu’un, dit Juliette.
-Quand je vous disais que je n’avais jamais de chance, ironisa une nouvelle fois Mattieu.

Juliette sortit avec le sourire aux lèvres. L’interrogatoire avec le détenu lui avait fait du bien. Elle n’avait plus ce mal de tête qu’elle avait au début de l’interrogatoire. Elle alla à son bureau pour aller regarder le dossier sur la victime. Il s’appelait Benjamin Margnan, et quand elle vu dans la case qu’il était bel et bien spéléologue, une sorte de soulagement lui traversa le corps. Marin Adrin avait raison sur toute la ligne. Elle alla vers Jeff.
-C’est bon on peut relâcher Martin Adrin, dit Juliette, il est innocent.
-Ah bon il n’a pas tué la victime, demanda Jeff
-Il a sauvé une personne, Jeff.
Mais il l’a tué oui ou non, bordel de merde ? S’énerva Jeff
-Oui, répondis Juliette à contrecœur, mais il n’a pas fait exprès Jeff.
-Alors il sera accusé de meurtre involontaire, affirma Jeff
Jeff s’en alla, laissant Juliette dans la gêne. Elle était extrêmement gêner pour Mattieu qui venait de tout avouer. Alors elle se décida d’aller annoncer la mauvaise nouvelle à Mattieu. Elle ouvrit la porte de l’interrogatoire avec une tête assez triste. Mattieu vit la déception sur son visage.
-Bon bah dites-moi ce que je vais prendre au moins sa sera fait.
-Vous allez être accusé pour meurtre involontaire, dit Juliette.
Mattieu mit les deux mains sur sa tête pour exprimer son désarroi.
-Ma vie est foutue, commença-t-il à pleurer.
-Je suis désolé, dit Juliette
Elle alla le réconforter en allant dans ses bras quand un gros « boom » se fit entendre à l’extérieur de la pièce.
Des hommes armés et masqués de personnages de guignols entrèrent dans le commissariat. Ils abattirent tous les flics qui essayèrent de se révolter. Juliette aperçut qu’ils tenaient tous une pierre dans les mains. Quand les flics surent qu’ils ne pouvaient plus lutter, les uns après les autres posèrent leurs armes. Juliette et Mattieu observaient la scène avec une angoisse effrayante. Soudain un homme avec un masque rouge bien plus effrayant que les autres s’avança.

-Mesdames, messieurs, je heureux de vous annoncer un cambriolage de prisonniers au commissariat de Tours, dit le masque rouge en rigolant.


Voici (enfin) le nouveau chapitre des Pierres du Futur. Je sais que j'ai mis un peu de temps mais c'est que je suis occupé ces temps-ci. Le prochain chapitre sera la suite de ce chapitre mais du point de vue de Mattieu. (Et je ne sais pas quand il sortira XD)
A la prochaine et bonne lecture!!! ;)

lundi 4 mai 2015

CHAPITRE 10: Les Pierres du Futur (Richard Polak)

A imprimer:http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-10.html

Chapitre 10

-On fera tout le nécessaire pour retrouver votre famille, Monsieur le président, réconforta le policier, je vous le promets.
Richard était tellement inquiet qu’il ne lui répondit pas. Il lui fit juste un signe de la tête pour le remercier de son réconfort. Il s’en était rendu compte quand il est rentré chez lui. Sa femme et fille cadette devait être à la maison. Sauf qu’elle n’était plus là. Il avait essayé de l’appeler sur son portable, mais personne ne décrocha. Il attendit, sa fille ainée qu’elle rentre de l’école, mais elle ne rentra jamais. Et c’est à ce moment qu’il décida d’appeler la police. La police sortit de la maison du président et ce dernier ferma la porte. Richard s’écroula devant la porte. Il se mit à pleurer. Pendant 1 minute, il pleurait à chaude larmes. 

Le téléphone sonna. Le président rampa pour aller chercher le téléphone. Une fois arrivé, le téléphone s’arrêta. Le président prit le téléphone et rappela le dernier. Le gars en face décrocha.
-Bonjour Mr.Polak, dit une voix sombre de l’autre côté du téléphone.
-Qui est-ce ?demanda Richard les larmes toujours en train de couler
-Quelqu’un qui détient votre femme et vos deux enfants.
Richard eu un choc en attendant la nouvelle. Elles n’avaient pas disparues, elles avaient été kidnappées. Richard ne sut comment répondre à cet homme. Alors il décida de lui répondre par la pitié, pour ne pas prendre de risque.
-S’il vous plaît, relâchez-les, supplia le président, elles n’ont rien fait de mal.
-Mais vous si, dit la voix sombre, dites-moi que vous n’avez pas envoyé de bombes à Bassorah, dites-moi que vous n’avez pas tué ma famille, et je relâcherais votre femme et vos deux enfants. Mais attention, si vous mentez, j’égorgerais votre famille un par un pour qu’il ait le temps de souffrir.
Richard ne répondit pas. Il se rendit compte alors qu’il avait fait une très grande erreur. A ce moment précis, Richard aurait tellement aimé remonter dans le temps pour changer le futur ou avoir la pierre sur lui pour voir ce qui allait arriver. Mais, là, il était trop tard, il devait se confronter à ce qui se passe dans la vraie vie.
-C’est bien, monsieur, dit le ravisseur, au moins vous êtes honnêtes. Vous gagnez le droit de la vie à votre famille, pour l’instant. Bon, passons aux choses sérieuses maintenant. Allumez la télé et allez sur France 2.

Le président s’exécuta. Il prit la télécommande et alluma  sa télévision ; un écran plasma de 127 cm. Il mit France 2. Il vit un homme masqué qui était assez bronzé, que l’on pouvait voir à cause de ces mains. Il était dans un entrepôt assez sombre entouré de machines inutilisées. Et à ses pieds trois personnes distinctes qu'il pouvait très vite identifier : sa femme et ses deux filles. La crainte du président s’intensifia. Il savait que si un terroriste diffuse une vidéo avec des otages, c’était pour les décapiter en direct.
-S’il vous plaît, demanda tristement le président, ne leur faites pas de mal. Prenez-moi à leurs places, et laissez-les vivre.
-Proposition intéressante me direz-vous, dit le ravisseur avec un calme des plus froid, mais non, car je veux que vous sachiez ce que sa fait de perdre un être chère .
Richard vit que même la conversation était diffusée en direct.
-Donc devant tout les français qui écoutes ce que j’ai à dire, dit le ravisseur à la télé, votre bon président nous prend pour des terroristes. Et pour ceci il nous a envoyé des bombes en plein marché. Mon petit garçon est mort, ce jour-là. Vous devez comprendre ce que je suis en train de faire. C’est ma « tenterkoam ». Ma vengeance. Et grâce  à votre vente de pierre qui voit le futur, j’ai pu rentrer tranquillement dans la maison du bon président et kidnappé tout le monde. Et pour cela je vous remercie, Mr le Président. Maintenant, c’est à vous de jouer Richard Polak. Vous allez faire un choix. Un choix très simple, même. Soit vous me donnez un code nucléaire pour mon pays, en prenant le risque qu’il explose chez vous, soit vous verrez les têtes de votre famille, se détacher de leurs petites épaules. Je vous laisse une heure pour décider de qui vous allez trahir. Votre pays ou votre famille ?

La vidéo s’éteignit. Le président ne savait plus quoi faire. Soit sauver sa famille puis, surement la reperdre à cause d’une bombe nucléaire, soit il perdait sa famille. Il hésita, puis il décida un choix. Il voulait protéger sa famille quoiqu’il arrive. Alors il sortit de la maison et prit sa voiture. Quand il arriva à l’Elysée, il ne prit même pas le temps de se garer. Il couru comme jamais il ne l’avait fait auparavant. Il se dirigea vers son bureau. Quand il arriva au porte de son bureau 2 gardes du corps était placé devant la porte. Quand il eut envie d’ouvrir la porte, les deux gardes l’arrêtèrent.
-Je suis désolé Mr le président, vous n’êtes pas autorisé à entrer, dit le garde à droite de la porte, ordre du gouvernement
-Je suis le président et c’est mon bureau que vous osez m’interdire, s’énerva le président
-Je suis navré, monsieur, dit l’autre garde
Pendant 30 minutes, le président chercha à passer mais il n’y arrivait pas. Il avait essayé de forcer l’entrer, menacer les gardes de leurs renvoies futur, ou de les avoir par la pitié. Mais au bout de ces 30 minutes, Richard décida d’entrer d’une autre manière. Il se rapprocha des deux gardes, et commença à décrocher un uppercut à celui de droite qui le mit K.O. Mais le deuxième prit son bras droit pour le mettre derrière le dos de Richard, pour enfin le neutraliser. Mais en jetant un coup d’œil à droite il vit que le garde du corps avait une arme. Alors il donna un coup de pied en arrière au garde, et prit son arme. Avec la crosse de l’arme, il assomma le garde. 

Il ouvrit alors les portes. De l’autre côté des portes, se trouvait un bureau, où un homme se tenait debout devant. C’était Serge Maurier, le premier ministre. Le président alors pointa son arme sur Serge.
-Où sont les codes ?demanda le président, dis-le moi et ne m’oblige pas à te tirer dessus.
-Richard écoute-moi, dit Serge en essayant de le calmer, je ne peux pas te les donner
- DONNE-MOI LES CODES !!!
-Je les ai brûlé, Richard, c’est fini. Je suis désolé.
Richard vit alors les cendres aux pieds du premier ministre. Alors il s’effondra par terre en pleurant. Serge vint le réconforter en se jetant dans ses bras. Soudain le téléphone sonna. C’était le ravisseur. Le temps était écoulé.
-Alors, donnez-moi les codes s’il vous plaît, demanda le ravisseur
-Je ne peux pas, ils ont été brulés, dit le président en larmes
-Ahahahah, rigola le ravisseur, j’espérais que vous me trouveriez une excuse moins bidon que celle-ci.
-Je vous jure que c’est la vérité, supplia le président, ne leur faites pas de mal
-Je pensai que vous teniez à votre famille.
Le ravisseur raccrocha. Le regard du président se tourna alors vers la  télévision du bureau. Le ravisseur était en direct de nouveau.
-Re-bonjour à tous français, dit le ravisseur, votre bon président à fait un choix, il a préférer vous protéger que protéger sa propre famille. Donc vous pouvez lui dire un grand merci. Par contre votre président est chiant car, je déteste décapiter des enfants.
Alors le ravisseur se rapprocha de la fille cadette, Célia, la prit par les cheveux, et mit un gros plan sur elle. Les larmes du président recommencèrent à couler.
-Paix à son âme, dit le ravisseur.
Un couteau apparu sur l’écran. Richard tomba à genou lorsque la lame traversa le cou de la petite fille. Le sang commença à dégouliner lorsque la télévision se mit à apparaître des bandes multicolores. Ils venaient de couper la liaison satellite. Il ne pensait qu’à la dernière image de sa fille pleurant à chaude larmes et dégoulinant du sang.

Deux heures plus tard, Richard était immobile, essayant de ne pas respirer pour rejoindre sa fille. Mais il ne le pouvait pas. De plus il n’avait toujours pas reçu de nouvelle du reste de sa famille. Mais plus le président essayait de se réconforter, plus il était en colère contre le monde et sa brutalité. Quelqu’un frappa à la porte. C’était Serge.
-Ecoute, je suis désolée, dis le premier ministre, je ne pouvais pas m…
Le président lui fit un geste pour lui faire signe de se taire. Pendant une minute, il se tut et Serge reprit la parole
-Nous avons reçu encore une nouvelle horrible, Richard. La télévision n’a pas été coupée au DOM TOM, et ta femme et ta fille…
Le président lui refit un signe pour se taire. Mais cette fois, il prit la parole.
-C’est ma faute Serge, dit Richard avec encore la tristesse dans sa voix
-Non, ne dis pas ça, tu n’as… essaya de réconforter Serge
-Si, c’est ma faute. J’aurais du t’écouter depuis le début. Je n’aurais jamais du envoyer ces drones à Bassorah, j’aurai du t’écouter et j’en suis désolée.
-Arrête de t’apitoyer sur ton sort, OK ? Tu ne peux pas revenir en arrière, et tu ne pourras pas y changer.
-Si, je peux faire une chose au moins.
-Ah oui, et comment ? demanda le premier ministre
-Cet enfoiré m’a dit qu’il était arrivé chez moi grâce à une pierre de Gwishosh. Et même ça, j’ai été aveugle. Cette pierre possède le pouvoir de faire basculer tout cette vie que l’on a obtenue, il y a des années. Ce n’est pas une pierre, Serge, c’est une arme capable de détruire des vies. Et c’est ça que je veux changer.
-Tu veux interdire le droit d’avoir la pierre ? Mais c’est un peu dingue. Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais quasi toute la population en possède.
Le président prit un regard des plus menaçants qui soit. A ce moment-là, Richard Polak était mort pour laisser une autre personne, beaucoup plus dangereuse, prendre sa place.
-Alors qu’est-ce qu’on fait, Mr le président ? demanda Serge comme si il avait un dictateur en face de lui.
-On arrête tous ceux qui possède ou on touché une pierre, dit le président, sans exception.

Voila le dixième chapitre des Pierres du Futur qui va marquer le début d'une nouvelle ère. Le prochain chapitre sera du point de vue de Juliette. Je vais marquer une petite pause pour cause que je n'ai pas beaucoup de chapitre d'avance donc le prochaine sortira la semaine prochaine (lundi ou jeudi désolé xD)
Donc à la prochaine et bonne lecture!!! ;)

vendredi 1 mai 2015

CHAPITRE 9: Les Pierres du Futur (???)

A imprimer: http://lespierresdufutur.e-monsite.com/pages/les-pierres-du-futur/chapitre-9.html

Chapitre 9
Elle était là, assise sur le siège conducteur de sa voiture, attendant sa fille pour l’emmener à l’école. Elle pensait encore à son mari qui avait encore une dure journée de travail, et qui, du coup, n’a pas pu emmener sa fille à l’école. Elle pensait que sa fille détestait son père et qu’elle allait bientôt partir dans sa crise d’adolescence. La mère de cette fille, exaspérée par l’attente de sa fille, appuya un bon coup sur le volant pour klaxonner. 

Sa fille arriva aussitôt en courant, son sac à moitié ouvert. Elle ouvrit la portière et s’assis sur le siège coté passager de la voiture.
-Désolé, dit la jeune fille, j’avais oublié de mettre le livre de Math dans mon sac
-Je t’avais pourtant dit de faire ton sac hier soir, gronda la mère, pour ne pas oublié tes affaires. Je l’ai bien dit, rassure-moi ?
-Oui, tu l’as dit, mais j’avais la flemme.
Un grand silence s’installa entre la mère et la fille, pendant que la mère démarra la voiture, prit la télécommande pour ouvrir le portail. Elle appuya sur le bouton de droite et le portail s’ouvrit. Elle appuya sur la pédale d’accélération et prit le chemin du collège. La mère, qui s’aperçut du grand silence morbide dans la voiture, commença une nouvelle conversation.
-Alors, tu as réfléchis sur ce que tu vas faire l’année prochaine en seconde ?demanda la mère
-Non je ne sais pas, ignora la jeune fille
-Tu ne m’avais pas dit que tu voulais aller dans le même lycée que ton père
-Non, je ne veux pas devenir aussi con que lui
-S’il te plaît, tu parles comme il faut de ton père, je te rappelle que l’on a la belle vie, encore cette année, grâce à lui, s’énerva la mère
-Je m’en fous qu’il me donne la belle vie, s’attrista la fille, je veux qui s’occupe de nous et pas que de son boulot !!
La mère ne parla plus. Dans le fond, elle savait que sa fille avait raison dans un sens. Son mari n’était quasiment jamais chez eux. Il avait toujours des urgences. Ils arrivèrent au collège quand la fille ouvrit la porte et sorti de la voiture. Mais elle ne ferma pas la porte pour ajouter un dernier mot à sa mère.
-A midi, tu peux m’envoyer un message pour me dire comment va ma sœur ? demanda-t-elle
-Oui je te dirai si son état s’améliore ne t’inquiète pas, rassura sa mère
La fille referma la portière. Et sa mère redémarra pour retourner chez soi, auprès de sa seconde fille qui avait chopé une méchante grippe la veille. Les deux filles de cette femme sont vraiment très proches et se soutiennent l’un l’autre. C’est pour ça que l’aînée ne voulait pas aller à l’école, car elle voulait prendre soin de sa sœur pour la journée. Au bout de 5 minutes de parcours pour revenir à la maison, elle arriva à destination. Le portail était déjà ouvert. Elle se dit alors, qu’elle avait oublié d’appuyé sur la télécommande pour le fermer.

 Elle rentra dans la maison, qui devait faire plus de 400m². Elle remarqua, alors une lueur bleue sur un meuble au fond. C’était la pierre de Gwishosh qu’il avait acheté il y a maintenant  2 jours.
-Célia, ma puce ! cria la mère, c’est toi qui est descendus prendre la pierre dans le meuble et ne l’a pas rangé ensuite ?
Pas un bruit ne sortit de la chambre de Célia, en haut des escaliers. La femme décida alors de monter voir ce qu’il se passe. Plus elle montait les escaliers plus elle avait peur qu’elle se soit étouffé ou autre truc dans le genre. Quand elle arriva dans la chambre de sa fille, il vit une énorme bosse qui était sous la couette.
-Chérie, tu dors ?demanda inutilement la mère
Elle se rapprocha du lit et vit que la position de sa fille avait une forme bien étrange. Alors elle souleva la couette. Elle ne vit que deux oreillers qui prenaient non-précisément la forme de petite fille. La mère angoissa. Elle commença, alors, à chercher dans toutes les pièces de la maison. Quand elle vit qu’elle n’était plus à la maison, elle commença à pleurer en répétant le nom de sa fille : Célia. Soudain elle aperçu alors que sur le meuble du fond, que la pierre avait disparu. Elle se rapprocha du meuble, et commença à chercher dans les tiroirs. Quelqu’un était dans la maison. La femme n’avait à peine le temps de se retourner, prendre le téléphone, et appeler la police d’une disparition, qu’une décharge électrique lui vint dans le cou. Elle perdit connaissance.

Elle se réveilla dans un entrepôt abandonné. Il faisait noir. Il devait donc faire nuit. Elle avait passé la journée endormie. Cet entrepôt faisait vraiment très peur avec ces machines qui étaient dans tous les coins de l’entrepôt. Soudain une porte claqua. Un homme masqué arriva vers elle.
-Qu’est-ce que vous me voulez, dit la femme apeurée, qu’avez-vous fait de ma fille ?
-Vos filles vont biens, dit l’homme masqué, je les aie mis dans la même pièce pour pas qu’elles ont peur
-Vous avez mes deux filles, pleura la femme
La femme remarqua tout de suite son accent.
-Vous me voulez quoi, bordel de merde ?!S’énerva d’un coup la femme
-Je veux que votre mari soit punit, pour ce qu’il a fait, c’est tout, dit-il d’un calme plat
-Si il a fait ce dont vous voulez une vengeance, c’est que vous l’avez méritez, c’est tout. Je connais mon mari il ne ferait pas de mal sans raison.
-C’est que vous le connaissez mal, madame
-Vous êtes un terroriste, c’est ça ?demanda-t-elle calmement
L’homme masqué répondit oui grâce à un hachement de la tête. La femme commença à pleurer de nouveau.
-Enfin c’est comme ça que vous nous appelez, je suis plutôt un partisan de mon prophète. Et c’est plutôt marrant de dire ça quand on c’est que votre mari à tué dis centaine de personnes.
-Vous allez me tuez ?demanda-t-elle toujours en pleurant.
-Ceci dépendra de votre mari madame, dit-il toujours calme, et vos enfants seront dans le même panier que vous
La femme commença alors à supplier en pleurant, mais l’homme masqué se leva et se dirigea vers la porte. Il s’arrêta devant pour ajouter un dernier mot.

-Vous savez, Madame Polak, si le bon président de la France aime sa famille, cela devrait bien se passer pour vous et vos enfants.

Voila le nouveau chapitre des Pierres du Futur. Le prochain chapitre restera sur le même thème que ce chapitre mais sera du point de vue du président. Il sortira le lundi 4 mai à 19h