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lundi 23 février 2015

CHAPITRE 2 :Les Pierres du Futur (Richard Polak)

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Une matinée dure l’attendait mais il restait, quand même, dans son lit avec dans ses bras, son épouse Irvin. Depuis les sérieux attentats, Richard avait peur. Peur car toute sa famille était exposé pour montrer que, en plus d’être un bon président, il était un bon père de famille. Mais ces événements lui ont contraint de faire preuve de prudence lors de ses apparitions publiques.

-Je crois qu’il faut que tu partes tu as à discuter avec le ministre de l’intérieur et au premier ministre, dit sa femme gardant les yeux fermé.
-Ouais je sais, mais je n’ai pas envie, si ils ont besoin de moi, ils ont qu’à m’appeler, dit le président de la France
-Où est passé l’homme qui à la lever du jour, se précipitait pour aller au travail et rentrait tard le soir, hm ?
-Cet homme veut rester un peut plus avec sa famille en ce moment, dit-il en embrassant sa femme.
Ils s’embrassèrent longuement et se préparèrent à consumer ce baiser quand le téléphone portable vibra. Richard prit le téléphone et décrocha.
-Allô, oui Serge, j’arrive dans 20 minutes pour la réunion, à tout à l’heure, dit-il d’un air exaspéré
-OK à tout

Il raccrocha le téléphone et le jeta sur la table de nuit. Il n’avait pas envie de sortir de chez lui et Irvin vit cet air d’exaspération sur le visage de son mari.
-Fait chier, j’avais promis aux filles de les emmener à l’école, s’énerva-t-il
-Qu’est ce qui va pas ? demanda sa femme, je ne te reconnais plus depuis…
-Depuis les attentats, dit  Richard haut et fort, j’ai peur pour vous, j’ai vraiment peur qu’il vous arrive quelque chose, et je peux te dire que ces attentats près de chez nous ne m’on pas rassurer.
-Ne t’en fait pas, il n’y en as un tout les trente ans donc on a le temps avant d’en voir un autre.
-Et c’est justement ce genre d’attitude qu’il ne faut pas avoir avec eux, répondis Richard, et ce n’est comme il ne s’était rien passé, un gars c’est fait exploser dans un magasin tuant 10 personnes  et en amputant un de la jambe.
-Bon, tu me fais chier, va à ton boulot et à ce soir, s’énerva sa femme en se recouchant.
Richard se leva de son lit, sans dire un mot, et se dirigea dans la salle de bain. Il se lava en cinq minutes chrono, sorti de la salle de bain puis de la chambre. Il se dirigea vers les chambres de ses filles pour leur dire au revoir.
-A ce soir les filles je pars au boulot, dit le père de famille
L’ainée, Nicole s’avança et lui dit d’un ton exaspérant :
-Oui on sait comme d’habitude, tu nous promets de nous emmener à l’école et ensuite une affaire urgente t’attend.

Nicole retourna se préparer et pour aider sa sœur. Richard voulu lui trouver une excuse mais il n’en trouva point. Alors il reparti sur sa lancée, prit les clefs de la maison, sorti de chez lui, prit la BMW offert à tout les présidents, et commença son trajet de 5 minutes jusqu’à l’Elysée. Enfin arrivé et garé à l’Elysée, des flashes gêna sa vue. En effet les journalistes étaient déjà là, posant des questions des plus ou moins farfelue, alors que Richard n’était pas encore sorti de la voiture. Il sorti de la BMW, et alla tout droit vers l’entrée. Sur son chemin, il esquissa un joli sourire et fit signe de la main aux journalistes pour faire bonne impression. Il entra et les flashes s’arrêtèrent. Il monta les escaliers et vit un garde du corps ; il lui fit signe de la tête pour lui dire bonjour. Il arriva enfin devant cette grande porte où il était marqué « Salle de réunions » sur une petite pancarte à gauche. Il ouvrit la porte et vit deux hommes se tenant debout. C’était le premier ministre, Serge Maurier, et le ministre de l’intérieur Anne Noudié.
 C’est le premier ministre qui s’avança et tendit la main au président pour lui serrer la main.
-Salut, comment vas-tu ? demanda le premier ministre
-Un réveil difficile, répondis le président avec le léger souvenir de ce matin en tête

Il s’avança vers la ministre de l’intérieur et lui tapa la bise. Après les avoir salués poliment, il invita les deux ministres à s’asseoir autre de la grande table rectangulaire de cette salle. Ils s’assirent tous à côtés du président le premier ministre à droite et la ministre de l’intérieur à gauche
-Bon finissons cette affaire une fois pour toutes, commença Richard, envoyons leurs des drones qu’ils apprennent à se méfier de nous
-Richard, as-tu perdu l’esprit ? S’étonna Serge, depuis quand veux-tu faire des massacre, pourquoi tu veux te rabaisser à leurs jeux ?
-Car devant leurs attaques, on ne fait rien à part tuer les coupables pour attentats contre notre pays.
-Monsieur si je puis me permettre, s’interposa la ministre de l’intérieur, cela pourrait nuire à notre sécurité intérieure pour cause de vengeance
-C’est pour ça que je vous ai convoqué, répondis le président, je veux que vous fassiez du recrutement au moins 100 000 hommes en plus, comme ça en plus sa fera baisser le chômage
-Mais financièrement… demanda Serge
-Est-ce que j’ai convoqué le ministre des finances, s’énerva le président, non ? alors sa veut dire que je me fous littéralement des finances pour le moment je m’en occuperai quand le temps sera venu
-Je ne peux accepter cela, c’est plus que barbare ta méthode Richard
-Et eux tu crois qui sont pas barbares envers nous peut-être, demanda ironiquement Richard, et puis merde c’est moi le chef des armées et de la police c’est moi et moi-seul qui décide des drones que j’envoie donc arrête de discuter et j’ai pris ma décision finale.

Le premier ministre effaré par les propos du président sorti de la salle sans un mot et en claquant la porte. La ministre de l’intérieur elle resta assise, silencieuse à côté de Richard qui regarda des dossiers devant lui pendant 5 minutes. Richard se leva, rajusta son costume et se dirigea vers la porte. A peine il eu le temps de prendre la poignée de la porte pour l’ouvrir que quelqu’un l’ouvrit à sa place violemment. C’était Serge.
-Oh doucement, tu vas l’abimer la porte à force, dit Richard
-Richard, les spéléos que l’on a envoyés à Gwishosh ils ont trouvé quelque chose dans le gouffre.
-Non, dit Richard avec un léger sourire, ils ont trouvés du pétrole ?
-Non, dit Serge essoufflé comme s’il avait couru un 100 m, mieux…ou pire je ne sais pas
Richard suivi Serge vers la salle de conférence où l’attendait un ordinateur avec quelqu’un en ligne dessus. Dans l’écran on pouvait voir, un homme du même âge que Richard ainsi que plusieurs spéléologues derrière lui.
-Bonjour, dit Richard, je suis le président de la république française, Richard Polak, on vient de me raconter que vous avez trouvé quelque chose dans le gouffre de Gwishosh.
-Oui bonjour, je suis Adrien Rabion, chef du projet Gwishosh, on vous appelle car mes employé Andrew Ward et Allan Dortin ont trouvé un nouveau matériau dans une caverne au fond du gouffre.
Le chef releva le bras droit et dans sa main, se trouvait une mystérieuse pierre bleue. Richard fut étonné par ce que montra le chef
-Que savez-vous de cette pierre, M.Rabion, demanda le président, de quoi c’est composé ?
-Non on ne c’est rien de cette pierre sauf d’un truc
-De quoi vous voulez parler ?
-La pierre a un pouvoir magique, M. le président
-Ok, repondis le président sceptique, et quel pouvoir a cette pierre alors ?

-Elle a le pouvoir de voir le futur, Monsieur.

Bonjour à toutes et à tous, voilà un nouveau chapitre mis en ligne des Pierres du Futur. J'espère que le caractère du personnage vous aura plus car l'histoire avec lui va mettre du temps à arriver. Je peux juste vous dire que je lui réserve une histoire assez intéressante et horrible. C'est tout ce que je peux dire. Le prochain chapitre sera à découvrir très prochainement sur Juliette Pyat, flic, et qui va apprendre l'existence de la pierre pendant la poursuite du meurtrier de son père.
A très bientôt et bonne lecture

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